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[ENGLISH]
points, lignes, points. has been conceived as an uninterrupted suite of very eclectic movements. Eclecticism is fundamental to my art. There’s pieces for multiple voices, “song renderings” of number station recordings, a sound poem, electronic and electroacoustic compositions, and the occasional quirky rock anthem.

The title can be translated as “dots, lines, dots.” It is a reference to marks made with a pencil on music paper, because, unlike my usual m.o., all the pieces on this album, began their existence on paper. But it is also a reference to other means of communication like literature, secret codes, hidden intentions. This is my third album about failed communication (following Spam Me in 2016 and Miscommunication in 2017). The material was composed between 2016 and 2023.

THE STORY BEHIND I GUESS I STILL BLAME MYSELF: In 1999, the famous percussionist Jon Mueller released an album entitled Pianobread, a collection of small-group improvisations accompanied by an unrelated short story. In that story, there is mention of an imaginary piece for “twelve beatnik opera voices” called “I Guess I Still Blame Myself,” libretto included. I dusted down that record in 2018 and, as I came upon that part of the story, I immediately “heard” the piece in my head. After getting Mr. Mueller’s blessing, I embarked on the wildest, craziest project of my composing life.

A different version of "Introït" has been previously available under the title "Points Lignes Points" on the Cuchabata Records compilation LP "60 x 44" (2022).


[FRANÇAIS]
points, lignes, points. est conçu comme une suite ininterrompue de mouvements faisant preuve d’un très grand éclectisme. L’éclectisme est central à ma démarche artistique. On y trouve des pièces pour voix multiples, des « mises en chanson » d’enregistrements de radios espions, un poème sonore, des compositions électroniques et électroacoustiques, ainsi qu’un peu de rock déjanté.

Le titre fait référence aux traits de crayon sur le papier à musique, parce que, contrairement à mon habitude, tous les morceaux de cet album ont existé d’abord sur papier. Mais il fait référence aussi à d’autres modes de communication, comme la littérature, les codes secrets, les intentions tues. Il s’agit de mon troisième album sur le thème du défaut de communication (après Spam Me en 2016 et Miscommunication en 2017). Il contient des pièces composées entre 2016 et 2023.

L’histoire derrière I Guess I Still Blame Myself: En 1999, le percussionniste Jon Mueller publie un disque intitulé Pianobread, une collection d’improvisations en petits groupes accompagnée d’une nouvelle littéraire. Dans cette nouvelle, il est question, entre autres, d’un morceau (imaginaire) pour «douze voix opératiques beatnik» qui s’intitule « I Guess I Still Blame Myself » et dont le texte est donné. J’ai réécouté ce disque en 2018 et, en lisant cette phrase, j’ai instantanément « entendu » ce morceau. Après avoir obtenu la bénédiction de Monsieur Mueller, j’ai plongé dans l’aventure la plus folle de ma vie de compositeur.

Une version différente de "Introït"est disponible sur l'album compilation "60 x 44" (2022) de l'étiquette Cuchabata Records.